Après quelques soirées estampillées Noise dispersées en province, voici le Festival Noise parisien, concocté de A à Z – ou presque – par Trendkill Entertainment que l’on ne félicitera jamais assez pour l’initiative.
Devant un public encore clairsemé Yog démarre en trombe le festival sur fond de grindcore épileptique et carré, très efficace mais au final assez convenu, dommage que les suisses se réfugient dans les clichés du genre, musicalement d’abord, puis du look à l’attitude scénique ; les speech crétins (Je me touche la bite, j’aime violer les cadavres et autres conneries, on se croirait dans la cour du collège) entre les titres n’aidant pas à les prendre en sympathie. Au moins, le son est bon.
Assez convaincant sur disque, Tanen nous lasse au bout de trois titres : sur scène, ça s’active, rien à redire mais notre manque d’intérêt pour le style pratiqué – hardcore/screamo épileptique matinée de passages plus calmes – nous pousse à aller flâner ailleurs, du stand Musicfearsatan à la terrasse du bar…
Premier groupe attendu du festival : Fiend, et pas uniquement par nous, puisque d’un coup le public assez clairsemé jusqu’alors, peuple plus considérablement la salle. Des problèmes de son ont raison du premier titre – le chant d’Heitham Al-Sayed est inaudible – et il faut attendre le deuxième pour que tout rentre dans l’ordre et enfin profiter pleinement du set. Au programme trois titres d’un stoner doom progressif aux relents seventies, complexes mais toujours fluides, et une reprise lourdement altérée du « Sacrifice » de Motörhead, des morceaux qui à coup sûr auront fait de nouveaux adeptes, même si cette prestation s’avère un net cran en dessous des deux dernières auxquelles nous avons pu assister (en ouverture de Caldera à la Mécanique Ondulatoire et lors d’une soirée Noise à Limoges deux semaines auparavant). Deux blessés à signaler dans le public, suite à quelques lancers inopinés de baguettes, une spécialité du batteur Simon Doucet, le cauchemar des drum kits.
À l’inverse de Tanen, c’est sur scène que Four Question Marks prend de l’ampleur : formation power trio, attitude frondeuse, son massif – tout dans les graves et les basses – la métaphore du rouleau compresseur n’est pour une fois pas usurpée. Au final difficile de se prononcer quant à ce groupe qui ne fait pas semblant, mais toujours marqué au fer rouge par Meshuggah – un gus cassera d’ailleurs l’ambiance entre deux titres en hurlant le nom du combo suédois – et dont les singularités, à savoir cette urgence, ce parti pris de sonorités plus baveuses, sont aussi ce qui tend à uniformiser préjudiciablement leur set, uniquement suivi par une poignée d’adeptes.
Complete Failure, amputé de son bassiste, semble avoir conquis plus d’un excité, difficile pour notre part de trouver un quelconque intérêt du côté de ce grindcore crasseux entendu un bon milliard de fois : chant linéaire au possible et jamais réellement puissant, pas l’ombre d’un riff marquant, batteur impressionnant de maîtrise, mais presque trop à l’aise, en tout cas inexpressif au possible.
Guère plus d’originalité du côté de Nachtmystium mais une efficacité de tous les diables dans la catégorie black/trash/punk : riffs impeccables et compositions mélodiques juste ce qu’il faut, par contre aucune trace de la dimension psychédélique qu’on leur prête depuis peu ldurant de cette prestation qui se conclut là encore sur une reprise de Motörhead avec bassiste au chant, évidemment…
On attendait après Jucifer pour verser quelques goûtes de mélodie dans cet océan de brutalité, mais que nenni, le duo se fond dans le moule est axe son set sur ses compositions doom et grind, oubliant au passage tous les hymnes rock qui forment pourtant le gros de son répertoire. Il y aura donc d’un côté les déçus, et de l’autre les impressionnés par ce déchaînement brut de décofrage : même sans son attirail d’amplis (Cf Noise #5) la guitariste Amber Valentine jouit d’un son phénoménal, tandis que son Davy Crockett de compagnon fait son numéro à la batterie : assis, debout, shootant dans les divers éléments d’un kit qui part en lambeaux, d’où diverses interventions en mode dépannage du batteur de Fiend, habitué à ce genre de déboires et donc certainement compatisant. Dommage que les quelques parties chantées soient inaudibles, ou peut être pas, tant celles-ci semblent peu assurées. Ce qui n’est pas le cas des braillantes démoniaques de ce petit bout de femme en robe courte bleu-ciel et talons hauts. Rarement on aura vu un groupe si dichotomique sur album et sur scène, mais qui en tout cas marque les esprits, en bien ou en mal, jugé bordélique et sans intérêt par les uns et révélation du festival par les autres.
Néons multicolores en fond de scène, claviers, synthétiseurs et guitare : l’heure est venue de la guerre electro-kraut-core : première offensive menée par Genghis Tron, trio découvert par un des labels américains les plus intéressants du moment, Crucial Blast, et récemment signé chez Relapse. La Maroquinerie se remplit, l’ambiance est à son fort, et les américains ne décevront pas : set ultra énergique qui confirme l’efficacité des nouveaux titres, parfaits en tous points : violents, mélodiques, variés et riches en atmosphères, de vrais moments de bravoure jouissifs. Un bonheur que cette avalanche de sonorités synthétiques, de riffs ultra-metal nerveux et de vocalises tantôt aboyées tantôt mélodico-vocoderisées. Sans oublier les plans tapping. La bouffée d’air frais du festival. Quarante cinq minutes éclairs, et de nombreuses acclamations pour nos trois musiciens aux dégaines certifiés 300% geek.
Et une dose de fun, une, avec Horse The Band pour qui une horde de jeunôts vestimentairement plus colorés que la grosse majorité du public en noir, s’amasse sur le devant de la scène. Horse The Band, combo américain déjanté, autoproclamé à juste titre inventeur du nintendo-core, un style dont la formule s’avère à la fois simple et complexe : des mélodies sorties droits d’une console 8 ou 16 bits pour habiller des compositions épileptiques à grosse tendance hardcore metal technique. Sur disque, ça tourne très vite en rond, sur scène on reste captivé, notamment par ce claviériste aux dents aussi blanches que proéminentes (le « Horse » de « The Band », c’est donc lui ?) et à la dégaine assez improbable, osant le jean noir coupé façon short mi-cuisse. Sans oublier ce sourire de crétin congénital vissé au visage tout du long, ses sauts de cabris et cette façon de taper sur les touches de son clavier si frénétiquement… Si le ridicule tuait, ce type serait mort 150 fois durant les 45 minutes du concert. « Tu viens de fumer pour la première fois de ta vie de l’herbe, ça va tu te sens pas trop mal ? », lui lance le chanteur. Mais ces gens là aiment se la jouer « idiots du village total à l’ouest », style personne ne sait quel va être le prochain titre joué : « Nous sommes un groupe très désorganisé… En général nous avons toujours un minimum conscience de ce que nous sommes en train de faire, mais aujourd’hui pas le moins du monde. » Musicalement par contre, ça joue carré de chez carré, avec une section rythmique impressionnante. En coin de scène, Steve Austin ne ratera pas une minute de la prestation.
Changement d’ambiance avec Today Is The Day, à des années lumière d’une quelconque idée du fun, même si finalement on s’attendait a un rendu beaucoup plus torturé et pesant, et pas seulement à une démonstration de brutalité extrême côté scène, et de joie côté public. Car les paroles sont bel et bien reprises en cœur tout du long par un groupe d’inconditionnels. Steve Austin crache sa bile sans nuance, option 1000% metal, entouré de deux nouveaux camarades, à savoir le batteur-machine bodybuildé – 0 feeling – de Complete Failure (déjà présent sur l’album Kiss The Pig de TITD) et un nouveau bassiste inconnu au bataillon. On peine donc un peu à reconnaître certaines compositions plus anciennes (« 6 Dementia Martyr », « Realization », « Marked »), même si quelques respirations aèrent le set : le final synthétique d’ « If You Want Peace Prepare For War » chanté à genoux par Austin qui lâche alors sa guitare – l’occasion pour certains de sortir les briquets – le terrible basse/batterie/chant de « The Worst Thing That Never Happened », la reprise de Chris Isaac « Wicked Game » ou encore « Temple Of The Morning Star », l’un des rares titres dont la mélodie parvient à percer le mur de saturations et de blasts. Alors, un concert intense, sans aucun doute, qui aura comblé les fans et en aura impressionné plus d’un, mais on sait TITD capable de plus de diversité, de plus de nuance dans les noirs, dommage donc de miser uniquement sur l’énergie et la violence brute en perdant au passage un peu de sa personnalité vicelarde.
ahahaha! Le mec au clavier de cheval le groupe prend cher… c’est l’fun!
merde, je suis un excité … sinon, plus j’y pense, plus ce TITD qui sur le coup et dans mon état de fatigue est passé comme un bon bain, était en vérité décevant, mise à part la fin d’If you want peace
dommage pour TITD. effectivement, tout ça sentait le bouc (si je peux me permettre). ça fait deja qqs anneés qu’il est plus assez fou le steve austin pour degueuler du willpower, temple of the morning star ou etre au summum d’un in the eyes of god. emabucher des batteur aussi ininteressants que le mec de complete failure (kiss the pig est l album le plus de metal le plus mauvais que j ai jamais ecoute). le feeling est une piece maitresse de TITD. il devrait prendre des vacances steve, je sais pas, il pourrait faire des trucs cool, genre aller apprendre à ses gosses à degommer des bouteilles de old nick au uzi dans le desert… faire autre chose que de la musique de merde. il est plus trop jeune, faudrait lui dire si vous parlez texan.
sinon, bravo. chouette report. horse the band, ça a l air cool.
et bien d accord pour crucial blast (et crucial bliss – sous division expé) – label du moment. on va en entendre parler plus. désolé de dire ça ici mais la seule sortie ‘moyenne’ qu ils aient fait recemment fu le disque de year of no light à mon humble avis…
gnaaa, tss, c’était mortel Today is The Day..
à moins que j’ai du mal à éclaircir ma lanterne objective. D’ailleurs, on s’en fout de cette lanterne, j’ai trouvé ça immense, à fond dedans de la première à la dernière note. Encore deux ou trois fois en un mois, encore !
chouette report sinon, chouette festival, chouette ambiance (ça, j’étais surpris, à ce point), chouette son, monstres groupes. à refaire !
Comme Pearly : suis d’accord pour l’évolution regrettable de TITD, mais ça m’a pas empêché d’adorer le concert (tout comme j’ai adoré le dernier YONL contrairement à dr house)
Sinon, c’était jouissif de regarder « Davy Crockett faire son numéro à la batterie » même si la set-list de Jucifer et le parti-pris du bourrinage de A à Z m’a déçue :
Un grand merci à Virgil Trendkill et au reste de l’orga en tout cas !
hum, bin moi jme dis que today is the day a déja joué maintes et maintes fois de diversité et de nuances, et que le steve n’a peut etre pas envie de refaire les memes choses, mais d’aller directement dans l’extreme, le lourd, le noir. Ca faisait (jme repete) 13 ans que je les avais pas vu, et toujours cette meme impression de danger, de sentir qu’on est plus là pour voir un groupe (de plus) mais pour vivre un truc qui va au dela de la musique…Jsuis pas vraiment un habitué du grind et tout le tralala mais cette decharge de noirceur m’a remplie de joie (?!?!??) 🙂
Le deuxieme de la soirée etait (surement) jucifer, un bon gros bordel bien chaotique où il se passe vraiment quelque chose sur scene (à l’inverse de cette « nouvelle » scene hardcore pioutpiout ou je ne me retrouve absolument pas).
Bref, cool festival, c’est quand le prochain????
Ches mon copaing, j’ai à peu de choses prés le même sentiment que toi concernant TTITD.
Pour Jucifer, tout pareil.
font-ils une tournée française Genghis Tron ? …parce que bon hein…non mais.
…ben ouais toujours Paris Paris Paris… ffff…
« L’EXTREME, le LOURD, le NOIR » c etait in the eyes of god ! quand tu ponds un album comme ça, tu ne peux rien refaire derrière à moins d en finir avec ta vie. y a rarement eu aussi malsain que ce disque.
Bah apres chacun fait sa ptite popotte hein? moi j’aime beaucoup le dernier, de toute façons, jsuis pas objectif du tout, à part « sadness will prevail » (et encore..) j’aime tout ce qu’a fait titd. Le fan de base quoi….
tiens, marrant le choix de Sadness, moi je crois que ma seule ombre (et encore, elle n’est pas méchante), c’est Kiss the pig. Pour le reste, je suis fan fan archi-fan
bordel, sérieux, j’ai rarement autant groupisé à chanter tout ce que je pouvais à un concert tout devant. Même à Pearl Jam, c’est dire 🙂
Hey on peut monter un super fan club, avec signe de ralliement secret, épreuves et veste en jeans à la turbonegro??? cooollllll…:)
épreuve 1 :
fais un gosse, apprends-lui à shooter avec un uzi. 😀
Epreuve 2 :
Se faire des tatouages super limites et prendre sa carte à la nra
TITD m’a fortement ennuyé par contre l’enchainement Complete Failure (que je n’ai pas trouvé dégueu loin de là, pas non plus le groupe de la soirée je l’accorde) – Jucifer (rhhaa, terrible même si j’aurais bien aimé 2-3 morceaux moins durs) – NachtMystium (élevé au Metallica et au Slayer dès tout petit) et les ovnis Genghis Tron et Horse the Band, ca valait le coup. Rien que pour Jucifer, Genghis Tron et Horse the Band je suis content de ma soirée en fait (et le tee-shirt de Michel Sardou vu dans le public, faudra mieux filtrer à l’entrée la prochaine fois)
Justement, moi j’ai adoré le t-shirt Michel Sardou 🙂 J’étais jaloux comme poux
Genghis Tron sera aux Eurocks de Belfort (le même jour que A Place To Bury Strangers et Comets On Fire), à part ça…
et vive Michel Sardoux pour toutes ces années d’émotion, ne serait-ce que que pour la trilogie ‘Le France, Les Ricains et Ils ont le pétrole et c’est tout’
la rupture tranquillou
ahahaha l’original est aussi bon que sa parodie
surtout que c’est un plutôt bon gars qui le portait, le t-shirt en question. respect. 😀
oui j’oubliais, j’ai carrément adoré Complete Failure, avec sa rythmique grind anarchique en mode république tchèque, terrible ce bordel à peine organisé.
Curieux de voir ce qu’en penseraient certains gros amateurs de grind tiens, faudra que je fasse tourner ça.
Merci Skidz pour Genghis aux Eurocks (et Comets aussi), mais j’osais espérer une autre date…éventuellement dans le sud… sniff. Horse The Band j’ai vu le DVD, et c’est passionnant (ou affligeant c’est selon…) de connerie, à part le son qui est vraiment hallucinant, d’où le contraste avec l’attitude « cro-magnesque » qu’ils adoptent en coulisses… sont marrants ces cons.
je suis bien d accord ‘ches’ chacun sa petite popote. nous tripons tous différemment (quel preuve de respect). juste que KISS THE PIG m a tellement déçu que ça a été une rupture pour moi… et les ruptures c est dur.
bref, en parlant de COMETS ON FIRE, vous devez être au courant mais le DVD de SUCH HAWKS est sorti y a pas si longtemps que ça et rien que le trailer fait baver ma petite gueule d’enfant de coeur boutonneux – http://fr.youtube.com/watch?v=yhRYmYHJxrc
la playlist regroupe COMETS ON FIRE, DEAD MEADOW, PEARLS AND BRASS, SLEEP, OM, BARDO POND, NEBULA, ACID KING, MAMMATUS, BILLY ANDERSON… un putain de doc de malade mental
en esperant que les très bons MUSIC FEAR SATAN en choppe qqs uns
Genghis est retourné aux states et a du annuler le reste de la tournée pour raisons familiales !
Sinon bah merci merci merci merci MERCI a tous pour vos encouragements un peu partout, ça me motive a préparer la suite !
Message important :
MERCI DE M’ENVOYER TOUTES LES PHOTOS DU FESTIVAL A CETTE ADRESSE : Info@trendkill.fr
MERCI x 666 FOIS !
Petite interview improvisée de Virgil TRENDKILL le soir du festival par le webzine Emofag (Oscar Wilde inside):
http://emofag.net/2008/05/21/interview-avec-virgil-de-trendkill-entertainment/#more-486
“An idea that is not dangerous is unworthy of being called an idea at all.”
l’a l’air bien cool, ce virgil que j’ai pas eu l’occase de remercier dimanche, donc : total fuckin support, et à la prochaine bientôt
vu le nombre de remerciements que je récolte sur ce coup la, je vous dois bien ça et je vais tout faire pour relancer tout ça !
j’organise beaucoup de metal extreme etc… ça tombe pas tous les jours ce genre de groupes, mais l’année prochaine devrait nous réserver pas mal de bonnes choses…
et pourquoi pas avant la fin de l’année qui sait…
Je ne vous dirais jamais assez MERCI !
V
On peut avoir une affiche encore plus variée l’an prochain, avec du post-rock et du Noise rock ? 🙂
(et le tee-shirt de Michel Sardou vu dans le public, faudra mieux filtrer à l’entrée la prochaine fois)
Mec, en voila un au moins qui avait la classe…
NO PROBLEMO
Pour ceux qui ont lu l’interview mon idée c’est d’en faire deux avec plusieurs mois d’intervalle…
Un axé comme celui ci allant jusqu’au grind / black / hardcore / stoner etc…
Un autre axé noise / post rock / ambiant…
A SUIVRE !
Je suis ouvert a toute suggestion !
Info@trendkill.fr
Perso, je trouve au contraire trés bien de mélanger les styles. De la noise rock comme bruitiste expé en passant par du grind, du crust, du punk Hardcore du jazzcore, drone ambient etc .. avec tout plein de trucs hors normes, si les groupes sont de qualités, moi je suis super client 🙂
mais ça ça ne tient qu’à moi.
tout à fait monsieur ; et l’affiche avait un peu l’air de ça, mais au final c’était un brin united colours of grind – mais c’est ma faute aussi, j’ai zappé LE groupe de beumeu (rires) et les passages wave – faut dire que ces salauds les ensevelissaient dès que ça commençait à me remuer le boule sous … du grind – oui virgil, désolé, je suis aussi comme ça, c’est ça les publics gâtés, ça chipote pour du détail dans une après-midi royale ; je te fais confiance en fait, et je soutiens le photographe, les affiches trop spécialisées ça me chagrine un peu, et pûis changement d’herbage réjouit le troupeau
Ca faisait masse que j’avais pas vu Virgil!
Putain clair mec… des années, genre minimum 4 ans je dirais… si ce n’est plus… a vérifier selon les concerts etc, mais je pense que je suis pas loin !
t’as pas changé en tout cas mec ! héhé
ahahaha! Une des dernières fois ou on s’est croisé ca devait etre a .. daughters ?!
17 septembre 2004 ? wow… tu n’étais pas au batofar en 2005 pour TITD ?
Pas mal la fonction msn dans les comments de noise mag ! héhé
Yep! exa pour titd.
Plus sérieusement (façon de parler), je n’arrive toujours pas à savoir comment il a eu ce teeshirt:
– Achat à un concert ? (la honte)
– Cadeau d’un ami ? (donc ex-ami après ça, tout dépend comment le cadeau est offert en fait)
– Fait maison ?
– Autre ?
Je n’arrive plus à dormir à cause de cette épineuse question.
J’aurais dû lui demander le jour même….
pour le sardou ?
bah, je vais lui demander.