Il y a un peu plus d’un an, suite à notre appel à l’aide consécutif à une chute inédite, subite et drastique des ventes kiosque de new Noise, vous avez été quatre fois plus nombreux qu’habituellement à vous abonner ou réabonner. C’est en grande partie ce qui nous a permis de tenir jusqu’à ce n°68 aujourd’hui disponible. Un numéro avec lequel se termine une bonne moitié de ces abonnements.
Disons-le simplement et clairement : pour que new Noise perdure une année de plus, il faut qu’une (très) grande partie de ces abonnements soient renouvelés. Donc, si vous en avez l’envie et les moyens, si vous voulez continuer à voir new Noise paraître, n’y réfléchissez pas à deux fois !
L’augmentation du prix du papier a pour l’instant cessé, mais les ventes en kiosque sont restées ces douze derniers mois au niveau le plus bas connu par new Noise toutes ces années (bientôt vingt !) – même si elles sont un peu remontées avec le n°68. De plus, les problèmes de distribution nous semblent plus fréquents qu’auparavant. Et si nous sommes chaque jour toujours plus sollicités par des labels, des tourneurs, des distributeurs, des salles et des groupes, qui nous réclament de « l’aide », de « la visibilité », ils sont de moins en moins nombreux à nous acheter des espaces publicitaires, ne serait-ce qu’occasionnellement.
Pour l’instant, l’unique moyen pour nous de faire face aux pertes financières en découlant : les abonnements, seule de nos sources de revenus à ne pas avoir baissé depuis la rentrée 2022.
Nous ne sommes pas les seuls dans cette situation, qu’il s’agisse de médias papier ou numériques, on ne compte plus les cessations d’activités, les éditos alarmistes et appels à contribution dans la sphère des médias culturels ces derniers mois. Il nous reste certaines cartes à jouer (nous sommes, par exemple, l’un des rares à ne pas nous être essayés au crowdfunding), mais pour l’heure nous faisons de nouveau simplement appel à ceux qui veulent et peuvent se réabonner ou s’abonner.
Merci à vous.
Précommandes passées avant le 2 novembre expédiées le 3 novembre.
Pour toute question concernant les commandes et abonnements, écrivez à abonnement@noisemag.net.
Également disponible à Paris chez Gibert Joseph, MusicFearSatan, Supersonic Records, Souffle Continu, Librairie Parallèles et Librairie Café-Tram.
Et chez les disquaires suivant en province et à l’étranger :
A Bordeaux chez Total Heaven Record Shop
A Bourg-En-Bresse à La Tannerie
A Lyon chez Bigoût Records et Dangerhouse
A Metz chez La Face Cachée
A Limoges chez Undersounds
A Toulouse chez Vicious Circle et Croc Vinyl
A Lille chez Besides Records
A Poitiers chez Transat
A Nancy chez Ici d’ailleurs
A Angers chez Exit Music For A Drink
A Nantes chez Mélomane et Frozen Records
A Nîmes chez Trou Noir Disques
A Caen chez Sonic Records
A Vesoul chez The Coffee Song
A Macôn à La Disquerie
A Genève chez Sounds Records
A Biarritz chez Aberdeen Records
Sommaire :
Couv/track by track : It It Anita
Couv : Årabrot
Listener’s Digest : Hatebreed
Glorieux Perdants : Six Horse / Seaweed
Note Discordante : Therapy?
Label : Transcending Obscurity
Chacun mes goûts : Great Falls
Pump Up The Volume : Pump Up The Volume Soundtrack
Question de Genre : Heavy shoegaze
Itws : Årabrot, It It Anita, Slowdive, Helmet, Militarie Gun, Scowl, Prong, Blonde Redhead, Uada, Paerish, Kristin Hersh, Incantation, Tar Pond, Agriculture, Venera (Munky de Korn + Chris Hunt), Superbloom, Sprain, Till The Dirt, Final Gasp, Deafcult, Sulphur Aeon, Model/Actriz, Sorrow, Sierra, Divide/Dissolve
Et plus de 200 chroniques de disques.
Voilà une bonne NOUVELLE !
Hâte de m’y plonger !
Je viens de l’acheter. encore bravo pour le sommaire au top.
Je suis en train d’écouter Maiden Mother Crone, merci pour la découverte !!!!!
Par contre toujours pas de Bibliothèque de combat…bien dommage.
Magazine que je n’ai découvert qu’il y a quelques mois – comme quoi ! – même si je l’avais déjà croisé en kiosques et feuilleté très rapidement, mais comme je ne connaissais aucun des groupes au sommaire, il m’avait alors paru extrêmement niche et/ou « élitiste ». J’ai fini par acheter un N° cet automne par curiosité et, en le lisant, je suis allé écouter plusieurs des albums qui y étaient chroniqués (et bien notés), et là… la révélation ! J’ai découvert non seulement de nombreux artistes inconnus, plusieurs pépites, mais aussi que j’aimais par exemple le noise rock, le post-rock / post-punk ! Bref, mes goûts musicaux se sont considérablement élargis et enrichis en seulement quelques mois grâce à New Noise.
Je me suis empressé de vous commander les anciens N° de 2023 qui me manquaient ainsi que le n° 69 à paraître puis, quelques jours après, je me suis abonné. Seul regret : n’avoir opté que pour un abonnement d’1 an au lieu de 2 !
Pour finir ce commentaire déjà trop long, je mentionnerai simplement que je suis surpris qu’il n’y ait pas d’édito dans le magazine. Et je trouve personnellement que ça manque. Il me semble qu’un édito pourrait permettre par exemple de renforcer votre « lien avec votre lectorat », de présenter le nouveau N°, de signaler un coup de coeur particulier, et/ou de réagir à une actu, etc, mais aussi de partager avec TOUS vos lecteurs ce type d’articles sur la situation commerciale de New Noise, car j’imagine que tous ne visitent pas forcément régulièrement votre site internet. Moi-même je ne lis cette news qu’aujourd’hui, plusieurs mois après, par hasard. Alors que je suis sûr que je ne serais pas le seul à aimer être tenu régulièrement au courant de la santé du magazine (et, de manière plus générale, de son fonctionnement) grâce à un édito publié dans le mag papier plutôt que de risquer de les manquer car postées uniquement sur le site.
Pour le reste, merci pour tout et longue vie à New Noise !
PS : j’aime beaucoup vos articles sur les différents labels, serait-il possible de publier aussi régulièrement des dossiers de fond sur divers sujets liés de près ou de loin, comme par ex sur l’économie du streaming musical, l’état de la presse musicale, etc ?